Ces expériences sociales et psychologiques qui ont viré au drame

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Peut-être connaissez-vous l’expérience de Milgram… Cette fameuse expérience dans laquelle des scientifiques cherchaient à évaluer le degré d’obéissance d’un individu devant une autorité légitime et à analyser le processus de soumission, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. L’expérience consistait à faire intervenir un faux scientifique qui demandait aux sujets de l’expérience d’appuyer sur un bouton qui envoyait des décharges à un acteur qui feignait de souffrir pour avoir jusqu’où le sujet pouvait aller, tant qu’une « autorité » lui disait de continuer. Mais cette expérience bien connue n’est qu’une goutte d’eau dans tout ce que l’homme a essayé, voici une compilation des tests les plus étranges qui ont été effectués.

L’expérience Von Sprdretrftrf

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Dans les années 80, le célèbre sociologue hollandais Peter Von Sprdretrftrf s’intéresse, dans le cadre de sa thèse, à un sujet jusqu’à lors très peu traité par ses pairs : la normalité. Pour étayer sa théorie comme quoi « des personnes normales restent normales lorsqu’elles sont dans des conditions normales« , il va mettre en place l’expérience suivante :

8 personnes tout à fait normales, 4 hommes, 4 femmes, tous avec des métiers et des familles stables, enfermées dans une maison. Les conditions sont simples, ils ont accès à la télévision, au téléphone pour appeler l’extérieur et sont nourris trois fois par jour.

La première matinée se passe bien, mais dès 13h, le premier jour de l’expérience, les choses commencent à se gâter. L’un des hommes se martèle la tête contre le mur en hurlant : « Satan possède mon âme« . Les autres ne réagissent pas, ils l’observent avec un grand sourire. Peter Von Sprdretrftrf, le sociologue, qui observe tout grâce à des miroirs sans tain, décide de ne pas intervenir et continue d’observer. L’homme qui se cognait la tête succombera à ses blessures 5 minutes plus tard, les trois hommes restant vont sur sa dépouille afin de manger son cœur avant de se battre jusqu’à la mort pour savoir qui pourra boire son sang. Les quatre femmes, qui étaient jusqu’à présent restées passives, s’enfermèrent dans la salle de bain. Le sociologue n’avait pas de vision sur la salle de bain, et après 4 jours sans nouvelles, il se décida à rentrer dans la maison. Lorsqu’il entra dans la salle de bain, il retrouva les quatre femmes, pendues avec leur propre intestin grêle et un symbole illuminati dessiné au mur avec des excréments.

Même si l’expérience ne s’était pas du tout passée comme prévu initialement, la communauté scientifique salua la qualité de thèse de Peter Von Sprdretrftrf, car elle prouvait une chose : « l’habit ne fait pas le moine« .

Le choix de Marine

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Cette expérience a pour vocation de tester la sensibilité des sujets à la récompense.

On présentait aux sujets une urne ainsi que des bulletins. Sur chaque bulletin, deux lettres étaient écrites et le choix d’un bulletin ou de l’autre engendrait une réaction de la part des scientifiques.

Si le bulletin comportant les lettres “F” et “N” était mis dans l’enveloppe, alors cette personne recevait l’équivalent de 4000€, en cash, directement après le vote. En revanche, si l’enveloppe contenait un bulletin comprenant les lettres “P” et “S”, les scientifiques devaient couper un des membres (avant-bras, jambe, etc.)  du sujet.

Ce test a été effectué à grande échelle en France, durant des dizaines d’années. On évalue à 100% le taux de réussite dès le deuxième vote, ce qui en fait un gigantesque succès. Selon nos sources, plus de 6 millions de personnes auraient participé à cette expérience et réitéré leur choix, par habitude.

Le réflexe de Rastakov

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Disciple de Pavlov, le professeur Rastakov a essayé de pousser plus loin les théories de son maître à penser en montrant qu’elle pouvait être appliquée à l’être humain. Pavlov avait prouvé qu’un chien qui entendait tous les jours une sonnerie avant d’être nourri, se mettrait à saliver au simple son de cette sonnerie par la suite, même si on ne lui apportait pas de nouriturre, car il ferait le lien entre le son et l’idée de manger : le fameux réflexe de Pavlov. Rastakov va utiliser le même mécanisme avec des patients volontaires. Il va tous les jours, leur faire écouter la chanson « Andalouze » de Kendji Girac avant de les nourrir. Après 1 mois, Rastakov leur mis alors la chanson de Kendji sans les nourrir derrière, pour voir s’ils salivaient à l’idée de la nourriture : le seul réflexe des sujets aurent a été de se mettre les mains sur les oreilles et de dire : « on peut arrêter d’écouter cette musique de merde svp ?« , une réaction que le professeur Rastakov n’avait pas du tout anticipé, l’expérience était close : le réflexe de Pavlov ne s’applique pas aux humain. Le professeur Rastakov se suicida 4 ans plus, lorsqu’il découvrit par hasard qu’il était le descendant de Charlemagne.

Les attardés de Saint-Denis

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Le principe est simple : une quinzaine de sujets déficients mentaux pour la plupart d’entre eux, de tous niveaux, sont recrutés puis enfermés quelques mois dans un espace à vivre confortable. Ils n’ont pas de contact ni avec leur famille, ni avec l’extérieur en général. Le but : voir si la cohabitation de personnes instables peut causer leur perte, entraîner la perte de contrôle de l’esprit ou si au contraire tout se passera pour le mieux. Afin de donner un véritable enjeu à ces personnes, une équipe est chargée de les convaincre, en amont, qu’elles ont quelque chose à protéger des autres sujets.

Au bout d’une semaine, les sujets se sont apprivoisés et tout semble aller pour le mieux. Le scientifique en charge de l’expérience commencera à prendre la parole, la seule interface avec le monde réel pour les sujets, dans le but de les déstabiliser. Les sujets étant relativement faibles d’esprit, ils essaieront très vite de se détruire mutuellement en brisant l’enjeu de cette expérience : ce qu’ils doivent protéger.

Au bout de deux semaines, tout dérape. Une personne est tuée par le groupe de sujets, et son corps est sorti du jeu. Les sujets commencent à devenir hostiles, incontrôlables. La guerre du pouvoir est lancée. Cela continuera toutes les semaines, tel un rituel. Cependant, le scientifique n’interrompt pas l’expérience qu’il juge exceptionnellement concluante, c’est pourquoi il continue de leur donner des vrais et fausses informations, de tester les sujets, de les pousser à bout, allant même jusqu’à leur proposer une somme d’argent s’ils sortent vivants de la maison.

Tout continuera sur le même cheminement, semaine après semaine, atrocité après atrocité.

A la fin, un sujet survit et sort enfin pour retrouver le monde réel. Il est suivi pendant une année, et les résultats sont effarants : il est très difficile pour le survivant de revenir dans le monde réel : délires, rivalités, arrogance, etc.

Depuis, chaque été, Secret Story revient sans que personne ne s’inquiète.


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